La cote d’Albatre

Deuxième jour, partis sous le brouillard… Direction : Etretat.

Sa falaise dessinant une arche sur la mer, son aiguille creuse qui servi de cachette à Arsène Lupin. Aujourd’hui, le temps est couvert, tout est bleu-gris.

Nous décidons de gravir la falaise. Nous découvrons une vue vertigineuse sur la mer en contrebas. Au loin, on distingue le petit village lové entre les falaises.

Dès que le chemin de douanier s’éloigne de la falaise et laisse au promeneur le loisir de découvrir le paysage de bocage qui se situe de l’autre côté et où s’étend le golf d’Etretat, tout est calme, on n’entend plus le cri des oiseaux marins, ni le remous des vagues s’écrasant sur la falaise. Tout est calme. Magie de ce lieu où tout peut changer en un instant.

Le soleil peu  à peu nous réchauffe, le blanc des falaises ressort, il fait presque chaud. Le chemin retour en direction du petit village semble suivre un tout autre tracé que celui emprunté à l’aller tant le paysage  s’est métamorphosé.

Il fait si beau que nous avons déjeuné dehors, sur la jetée sous le regard et les cris des goélands.

Deuxième étape : Fécamp.

Il fait de plus en plus beau. La campagne resplendit de soleil.

Le long de la plage, les lumières sont vives, le blanc de la balustrade contraste avec le bleu de la mer. On se croirait en été en Grèce.

Je ne peux que vous conseiller de monter jusqu’au Cap Fagnet qui surplombe Fécamp. On y découvre une vue magnifique sur la ville et on peut y admirer le défilé des falaises, côté sauvage

Et puis, avant de rentrer, escale à Yport. Sur la plage, se trouvent des bateaux  de pêcheurs et la plage est bordée par d’anciennes cabines de bain qui se découpent sur le blanc de la falaise éclairée par le soleil couchant.

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