Déjà le mois de septembre et avec lui, la rentrée !

Voici dans cette perspective une première série de livres pour se creuser un peu la cervelle et qui peuvent aussi servir pour occuper les loulous dans diverses occasions et notamment pendant les voyages.

Pour les plus petits, voici A qui est ce vélo. Le livre nous montre diverses formes de vélos, bizarroïdes et amusantes et il s’agit de deviner à quel animal il appartient. La morphologie curieuse de l’engin constitue évidemment un indice et l’on passe ainsi du vélo adapté au long cou de la girafe à celui adapté au mille patte.

Dans Mon Bus, toujours pour les plus petits, on passe en revue tous les moyens de transports. Au fil des pages, les personnages passent d’un moyen de transport à l’autre et les plus grands pourront donc compter ceux qui se trouvent dans chaque véhicule et même s’initier aux soustractions en comparant le nombre de ceux qui y étaient au départ, le nombre de ceux qui en sont sortis et en déduire le nombre de ceux qui restent.

Dans Un train Passe, on suit les wagons d’un train pendant tout son trajet à travers ponts et tunnels. Chacun d’eux est d’une couleur particulière et on passe ainsi en revue les couleurs.

Pour les plus grands, Les Lapins savent compter nous entraîne dans le périple d’un groupe de lapins qui se cachent, trouve un autre groupe de lapins et sauvent un des leurs qui étaient emprisonné dans le château fort du loup. A chaque étape, on compte le nombre de protagonistes, le nombre de portes, de fenêtres et de caves que comporte le château. Comme dans le livre précédent, c’est l’occasion d’effectuer des soustractions mais aussi, pour les plus avancés, des multiplications du type, il y a 7 chandeliers qui portent chacun trois bougies. Toujours est il qu’à la fin, les lapins les plus nombreux réussissent leur mission.

• A qui est ce vélo de Jun Takabatake Editions Philippe Picquier
• Mon bus  de Barton Byron Ecole des loisirs collection les Lutins
• Un train passe de Donald Crews Edition Il Etait Deux Fois
• Les Lapins savent compter Bruno Heitz Seuil Jeunesse