KERTESZ a passé de nombreuses années a New York. Il rencontre des difficultés pour faire connaître son travail. Ce mal être se ressent dans ses photographies. Au delà du fameux cliché du nuage perdu dans la partie droite de la photographie qui est par ailleurs totalement vide , KERTESZ représente une ville géométrique où les humains n’apparaissent que ponctuellement,comme de minuscules fourmis écrasées sous les lignes de fer et de béton. |
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On ne distingue parfois qu’une partie de corps, une cheville, un pied, figurant presque par hasard sur le cliché, comme si le photographe n’avait pas voulu prendre ce petit bout d’homme, comme s’il n’avait pas attendu qu’il sorte du champs ou ne l’avait pas distingué dans son viseur. Ce serait mal connaitre KERTESZ dont une partie du travail est justement de décrire la situation de l’individu pris dans son décor jusqu’à parfois se confondre avec lui (ici). | ![]() |
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Quelques photos de mon cru autour de ce thème :
![]() Paris La Défense |
![]() Pyramide du Louvre |
![]() Paris la Défense |
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